Vampire Knight. A new story

Une voix s'éleva, Otello fit volt-face pour découvrir un Day Class à la tenue ma fois... attirante pour l’œil? L'instinct du vampire lui criait de rester sur ses gardes, tant une impression de danger émanait de la fille. C'était pire encore que si elle portait un panneau clignotant "fille dangereuse, vampire rangez vos dents". Et son discours n'était pas pour arranger la chose.
Otello ne put s'empêcher de sourire devant tant de cran. Elle ne semblait pas inquiétée le moins du monde face à lui. Certes, il n'était pas menaçant, mais il restait un vampire, un chasseur assoiffé de sang, et qui savait comment il pouvait réagir face à une proie si appétissante? Certains étaient prêt à mourir pour goûter au sang d'un tel calice! Mais après tout, elle avait raison d'être si confiante, si provocatrice. Car, si un humain normal était une souris et un vampire, un chat, elle, était un loup! Le chat -vampire- avait beau être un prédateur, le loup -Oracle- était bien au dessus de lui dans la chaîne alimentaire.
Princesse aux dents longues, la paire de canine, autant de métaphores qui donnaient l'impression à ses moqueries d'être des mots délicats et raffinés.
Mais alors qu'il s'apprêtait à répondre, il sursauta en sentant une main venir claquer sur ses fesses. Sangsue d'amour... cette fille avait décidément l'art de maîtriser les mots. Aussi doux puisse être Otello, le comportement d'Oracle ne pouvait simplement pas laisser de marbre un vampire pourvu qu'il aime les filles! Et l'italien devait prendre sur lui pour ne pas lui demander plutôt dans le rapatrier dans une chambre où il seraient tranquilles. Il devait ronger son frein, mais, le problème quand on est un vampire, c'est qu'on a de longues dents pour le ronger plus vite. Attention, ne pas se méprendre, Otello n'avait pas le béguin pour Orianne! Il était juste impossible de ne pas sentir son mini-sois se dresser aussitôt.

Bien que je sois sur de pouvoir retrouver mon chemin seul, j'admet que cela ira plus vite par votre biais! Sir

Hors de question d'admettre qu'il serait incapable de retrouver son chemin, et il ne voulait pas non plus donner l'impression qu'il acceptait juste parce qu'elle ne lui avait pas donné le choix. De toute façon, même si elle le lui avait laissé, il aurait accepté.
Mais alors qu'il priait pour qu'elle se contente de le guider rapidement et de partir- même s'il n'y croyait pas une seule seconde- quand quelqu'un, un vampire, débarqua. Miracle! Il allait lui sauver la mine avec un peu de chance? Mais Otello déchanta très vite face à l'expression du nouvel arrivant qui semblait complètement baver sur la Day Class. Pour sur, lui, ça ne devait pas se limiter à un simple désir. Il pensa à salue Otello et à se présenter comme le frère du chargé de dortoir, mais pas à donner son nom. Puis, il reporta toute son attention sur Oracle, et Otello en vint à se demander si, plutôt que de venir à son secours, le frère du chef de dortoir n'allait pas plutôt allonger plus encore la torture.

Dimitri eu un réflexe qui lui fut salutaire. Ou du moins, qui lui épargna plus de souffrance qu'il n'en avait déjà subit face à Orianne. En effet, car, juste après que le vampire-loup-garou se soit écarté, le poing d'Anori se figea à l'endroit exacte ou se trouvait son ventre un instant plus tôt.

Essais seulement de recommencer, ne serait-ce qu'une fois, et tu ne t'en tireras pas à si bon compte.

Fulmina froidement le rouquin avant d'emboîter le pas à Dimitri sans rien ajouter. Il n'avait aucune envie de l'aider à régler cette histoire d'alarme incendie, mais cela ne l'empêchait pas de montrer un semblant de bonne volonté. Le loup garou vampirique lui avait posé une question, mais Anori hésitait encore. Devait il se taire et refuser de répondre ou répondre sans tout à fait répondre? Il n'avait aucune envie d'expliquer ce qu'il faisait dans l'académie, et, de toute façon, le directeur lui avait demandé de ne pas l'ébruiter- comme s'il en aurait eu ne serait-ce que le moindre petit soupçon de désir. Il décida finalement de retourner sa question à Dimitri.

Et qu'en est il de toi? Qu'est ce qui t'a bien poussé à mettre les pieds ici?

Lança t-il sans même chercher à sembler réellement intéressé. Il aurait peut être été intéressé par d'autre question- et encore, il aurait tout de même fait mine de ne pas être intéressé- mais celle ci... Que pouvait on bien pouvoir venir faire dans une académie qui servait à suivre des cours? Sauf exception- il en était lui même une- c'était pour suivre les cours non? Ou alors pour confondre la Day Class avec une réserve de gibier...

Anori haussa un sourcil en suivant Dimitri. Il lui demandait ce qu'il faisait là, mais ne voulait pas dire pourquoi lui était là? Anori haussa les épaules.

Considère que ma réponse est la même.

Répondit il alors. S'il espérait qu'Anori fasse preuve de bonne volonté- mais le rouquin en serait surpris- il risquait d'être déçu. D'ailleurs qu'est c qui le forçait à obéir? Après tout, il était déjà fiché, un peu plus ou un peu moins, peu lui importait. Il s'étira en réfléchissant. Il pouvait toujours tenter, voir où le chef de dortoir comptait le mener. C'était toujours mieux que de rester à rien faire non?
Le vampire le mena jusqu'à une porte qu'une pancarte signalait comme "interdite aux étudiants". Pour une fois que le rouquin pouvait désobéir légalement! Dimitri se mit à crocheter la serrure en parlant tout seul. En l'écoutant, le rouquin songea soudain que, des deux, c'était le chef de dortoir qui devait être le plus "désavantagé". En effet, Anori pouvait se déplacer de jour comme de nuit, cela ne changeait rien, alors que l'autre se faisait constamment agresser par le soleil.
Soudain, la porte s'ouvrit, arrachant le rouquin à ses pensées. Il suivit le vampire à l'intérieur et attendit patiemment tendis qu'il consultait l'ordinateur.

Cette pièce mériterais un bon coup de balais...

Commenta t-il avant de s’interrompre brusquement quand l'autre lui fit signe de se taire. Intrigué, il tendis l'oreille, renifla l'air... rien. Il ferma l’œil et tenta de se concentrer sur son instinct... rien. Soit le russe s'était inquiété pour rien, soit la... menace? était trop loin pour le mettre en alerte. Le borgne rouvrit son œil pour constater que Dimitri sortait de la pièce aussi, il lui emboîta le pas.



Laissés à l'abandon par leur guide, les trois frères se regardèrent. Puis, Ranmaru haussa les épaules avant de s'avancer dans le couloir en regardant le numéro sur les clefs que lui avait confié Arutha. Ses cadets le suivirent, Bomaru profitant de l'occasion pour râler à propos de l'organisation etc... Ranmaru se demandait parfois comment il faisait pour trouver à chaque fois une occasion pour râler. Il finit par s'arrêter devant trois portes.

Nos chambres sont ici...

Il donna leurs clefs à ses frères avant d'entrer sur la sienne sans entendre- fort heureusement- un garçon les siffler au passage. Il ferma sa porte derrière lui. Sur le lit était posé une tenue noire, sa tenue de Day Class. Il posa sa valise à côté et s'apprêta à l'ouvrir quand...

AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAARGH!!!?

Sans prendre le temps de réfléchir, Ranmaru bondit dehors... ou plutôt bondit sur la porte parce qu'il avait mal abaissé la poignée. Se frottant le nez, il sortit en trombe pour apercevoir Yukimaru sortir à son tour de sa chambre.

Que se passe t-il?

Demanda t-il au blondinet qui haussa les épaules.

C'est quoi CA!!?

Le cri venait de la chambre de Bomaru. L'aîné des trois frères alla pousser la porte pour apercevoir le jeune garçon bouillonnant de rage devant son lit, tenant quelque chose. Il regarda par dessus son épaule pour constater que le jeune garçon tenait sa tenue... mais quelque chose clochait. Dans sa forme... et aussi dans le fait qu'il n'y avait pas de pantalon, mais une jupe...

Là, ça va barder...

Commenta Yukimaru qui les avait rejoint.



Vitaly n'avait pas vraiment suivit ce qui s'était passé, il s’était contenté de ramasser les affaires de Becksel, puis, il s'était replongé dans ses pensés. Raven, lui, se demandait ce qu'ils étaient censés faire à présent. Là, abandonné, sans même leurs clefs pour gagner leurs chambres et déposer leurs bagages...
Soudain, il perçut des bruits de pas, la fréquence indiquaient que la personne courait. Venait on à leur secours? Il pivota pour voir ce qui approchait mais, avant même de voir l'équipée, il entendu un "Allez! Hue" et commença à s'inquiéter. Ses craintes se confirmèrent. Une petite blondinette, assise sur une malle tenue par deux jeunes hommes, cravachait celui devant elle pour le faire avancer plus vite.

Qui a ouvert le vieux grimoire étrange dans la cave?

Lança t-il pour lui même, prêt à parier que personne ne connaissait Dictatorial Grimoire, et ne pourrait donc pas noter la référence. Mais, pour faire simple, le grimoire en question à laissé échappé, quand il a été ouvert, tous les personnages des contes des frères Grimm. Qui sait, peut être existait t-il le même grimm-oire (note, se passer de jeux de mots pourris la prochaines fois) pour Lewis Caroll? Peut être Alice s'était elle échappée de ses contes, et qu'elle n'était en fait, pas comme on aurait put s'y attendre...



Otello observa l'échange entre l'humaine et le vampire qui semblaient bien se connaître tout en s'efforçant de calmer son mini-lui.
Petite note à un lecteur trop attentif: Otello, au cours de ses nombreux voyages, s'était longuement arrêté en Angleterre. Hors, il est un vampire, et vie depuis longtemps. Quand il s'est rendu en Angleterre, le pays n'était pas encore comme aujourd'hui, mais la tendance était encore à la supériorité masculine (les femmes n'avaient pas le droit de refuser une demande en mariage, de rendre visite à quelqu'un si son mari ne l'avait pas visité en premier etc...). Dans ces conditions, il n'est guère difficile de ne fréquenter que des hommes, il suffit de se rendre à des endroits où les femmes n'ont pas l'autorisation de se rendre. Non pas qu'Otello ne voulait pas côtoyer de femme, non, ce n'était pas volontaire, mais il n'empêchait que, à force de fréquenter des hommes, il avait prit l'habitude de finir ses phrases par Sir, mais rien pour les femmes. Et quand bien même il en aurait fréquenté, la place qui leur était accordé faisait qu'elles étaient généralement inférieur à lui.
Soudain, la surnommée Oracle l'arracha à sa concentration par une phrase qui, il en était sur, le fit rougir. "Allez! Gardes à vous, même si c'est déjà fait pour certains". Puis, elle les poussa- lui et l'autre vampire- comptant apparemment les amener voir un responsable.

Pourquoi a t-il fallut que je me perde?

Si le russe allait vite dans ses mouvement, le rouquin, lui, alla vite dans ses pensées. Tout commença par un:

Espèce de...

Puis, ses pensées se dirigèrent vers autre chose:

Heureusement que ce n'est pas Anari, elle a les cheveux beaucoup plus longs... Anari?

Un plan diabolique germa dans l'esprit du rouquin. Non pas diabolique envers Dimitri, mais envers une personne qu'il détestait plus encore, en fait, la personne qu'il haïssait le plus au monde -mais cela ne signifiait pas qu'il oubliait Dimitri-. Ignorant le flot d'insultes qui se mit à fuser dans son esprit quand la vampire comprit ce qu'il manigançait, il ferma son œil et s'effaça intérieurement pour laisser place à Anari. Ne contrôlant pas aussi bien le corps que lui (Anori avait plus souvent les manettes qu'Anari) elle fut incapable de résister.
Dans les mains du vampire-loup-garou, le rouquin fut enveloppé d'une lumière blanche, quand elle s'éteint, ce n'était plus un jeune garçon roux de petite taille avec un unique œil rouge qui était là, mais une jeune femme au longs cheveux blancs lui arrivant normalement jusqu'aux pieds et légèrement ondulés, de grande taille et avec deux yeux rouges vifs. Elle fulminait de rage, mais impossible de savoir si c'était contre Dimitri ou Anori, peut être les deux. Quoi qu'il en soit, la vampire possédait un pouvoir pratique dans de tel situation -ce qui la différenciait du rouquin qui, lui, n'en possédait pas- à savoir, l'animorphing. Elle pouvait se transformer en l'animal qu'elle voulait. Comme par exemple en...
Un truc longs et gluant prit la place de la jeune fille dans les mains du vampire, gluant, et qui glissait comme une anguille.
Ah! Voilà ce que je voulais dire! Comme par exemple en anguille!

Anari:

PUNIE?

Oh non, Anari n'aimait pas parler quand elle était transformée, imaginez, sa voix douce et cristalline qui se transformait en la voix d'une anguille- pour peu qu'une anguille ait une voix, disons, la voix qu'aurais une anguille si elle pouvait parler- et autant dire qu'elle détestait ça!
Mais ce n'était pas le pire. Loin de là! Elle préférait encore chante, transformée en chèvre, devant une foule hilare, que ce que Dimitri venait de faire. A savoir, dire qu'elle était punie. Or, ce n'était pas elle qui était punie, c'était Anori, donc, Dimitri venait de la  comparer à Anori, et CA, c'était la pire chose qu'on puisse lui faire!

Est-ce que je ressemble à un crétin de minuscule rouquin? Moi? Anori? Cette immondice? Ce déchet de déchet humain?

L'anguille s'allongea, s’épaissit, changea de couleur pour devenir d'un marron clair, parsemé de grande tâche plus foncées elles mêmes cerclées de blanc et de noir. Elle leva la tête et se remonta jusqu'aux mains de Dimitri où elle enroula son corps écailleux avant de serrer.
Un jour, une personne ne connaissant pas les boas constrictor a dit en en voyant un s'enrouler autour de quelqu'un "c'est mignon, on dirait qu'il l'aime tellement qu'il lui dit: je ne veux plus te lâcher". Et finalement, cette personne n'était pas si loin de la vérité, Anari pensait bel et bien "je ne vais plus te lâcher... du moins, pas tant que je n'aurais pas broyé chaque os de tes bras."

Moi? Anori? sa voix était à présent celle d'un serpent, Oser croire- jusssste croire!- que je ssssuis Anori? Enfoncccce toi bien ççççça dans ton crâne, mon nom est Anari, AnAri!

Siffla t-elle en serrant de plus belle les avant-bras du vampire-lycanthrope

Tout en continuant à serrer son corps atour des bras de Dimitri- c'est si dur que ça les os de loups-garou?- Anari offrit à Dimitri ce qui devait être un sourire, mais qui, sur le visage d'un serpent, ressemblait plus à "morsure dans 5...4...3". Elle leva ses petits yeux ronds sur le vampire et siffla:

Malheureusement pour toi, je ne sssuis pas une élève. Ma présenccce est tolérée car, à mon plus grand malheur, je ssssuis indissoccciable d'Anori, donc, je ne suis faire autrement que d'être dans cccette académie. Oh, je sssuis vraiment désolée, ccce doit être horrible de voir un de tes nouveau jouet t'être arraché des main avant même que tu ne le sssaisissse...

Puis, elle se reconcentra sur ses anneaux qu'elle resserrait inlassablement avant de lever la tête, regarder autour d'elle, sortir sa langue fourchue pendant un instant, effrayant un élève au passage -était-ce volontaire ou machinale, seul elle le savait- avant d'ajouter:

Tu sssais, tous les humains ne craignent pas les ssserpent. Cccertains les adorent même, mais ne sss'y conaissssssent pas assssssez pour différencccier un Boa Conssstrictor en train d'ensssssserrer sssa victime et un ssserpent innocccent. Autant de persssonnes qui risssquent de courrir vers toi en poussssssant des cris de joie pour me caresssssser avant de ssse rendre compte que je parle... ou que je les mordre faute de ne pouvoir leur broyer les os puisssque je m'occupe déjà de toi...

Elle sortit à nouveaux sa langue avant de la retirer aussitôt, comme aggacée

Fichtre, je comprend pourquoi les ssserpent ne parlent pas, ccc'est bien trop chiant de parler avec cccette langue!

Anari changea de forme- le serpent était trop handicapant pour parler- et se transforma en fennec- en fait, le premier animal qui lui était passé par la tête. Elle leva les deux billes noires qu'elle avait pour yeux sur Dimitri et sourit

Mon cher, je ne suis pas hors la loi pour autant, et j'ai le droit, par dérogation, d'être dans cette académie par le simple fait que, si Anori y est, j'y suis, et qu'Anori est un élève de cette académie. j'ai également droit à ces protections réservées aux night class car il est jugé que s'en prendre à moi reviens à s'en prendre à Anori qui est un Night Class. En fait, je suis reconnue comme "membre de l'académie" sans plus de précision, un sorte de caste spéciale pour moi parce que j'étais considérée à la fois comme élève et invitée. Les avantages, sans les inconvénients... Excepté l'inconvénient majeur de devoir partager mon corps avec celui d'un rouquin irascible, rabat-joie, horripilant, haïssable, et j'en passe. Regarde comme mes poils se hérissent rien qu'a la pensée d'Anori! Beurk!

Elle agita la queue d'un mouvement plein de regret, comme pour répondre à la demande du Russe, un sourire -faussement- désolé sur le museau:

Redevenir humaine? Je ne l'ai jamais été, je suis une vampire, et je vous prie de ne pas m'insulter! Et aux dernières nouvelles, je ne me suis transformée que par légitime défense! Qui essayait de m'utiliser comme balais- même si, à la base c'était Anori, le fait est que je me suis retrouvée mêlée à cette affaire alors que je n'ai rien demandé, et des cheveux blancs comme les miens, c'est salissant, en plus ils sont longs.

Puis, brusquement, elle disparu... Ou plus précisément, elle disparu de la vue, car elle était encore bien là, mais à la taille microscopique d'un acarien. Elle cria alors à plein poumon -mais seul une oreille fine pouvait entendre une si petite créature crier:

Sur ce, excuse moi, mais pour une fois que j'ai les commandes du corps, j'aimerais en profiter!

Otello avait suivit l'échange entre l'humaine et le vampire sans piper mot. Quelque chose lui disait qu'avec une fille comme elle dans l'académie, l'année ne sera pas une année scolaire des plus reposante. Ni des plus normal d'ailleurs, mais déjà, sur la base, une année scolaire avec humains et vampires dans la même académie, ce n'est pas normal.
Elle les expulsa et referma la porte derrière eux. Le vampire resta un instant immobile avant de hausser les épaules.

Je suppose être plutôt chanceux sur ce coup là, ce n'est pas comme si j'étais tombé sur un surveillant ou quelque chose du genre.

Il pivota vers Pierrick et s'inclina légèrement
Je crois que je ferais mieux de rejoindre le groupe des nouveaux élèves, ou je vais à nouveau me perdre. Je vais donc vous laisser, sir

Sur ce, il tourna les talons pour rejoindre l'entrée de l'académie. Quelque chose lui disait que quelque imprévus empêchaient les choses de se dérouler comme l'avait prévu l'administration. Il "entendait" les élèves autour de lui se demander ce qui prenait autant de temps.